Cornaline.
Tu n'as pas ouvert les yeux ,regardé les mystères,
ou sentir la nature ,ta préféré la guerre.
Pourtant elles étaient là ,les couleurs arc-en-ciel
La colombe de la paix , la fleur et le miel.
Un mars qui recommence dans la couleur du sang,
l'oxygène a manqué ,plonger dans le violent.
L'enfer ouvre ses portes et attend les bourreaux,
martyres déjà partis ,attendent au paradis.
La terre maintenant s'en mêle ,réagit comme un coeur,
Se défend et leur montre oui à quel point elle pleure.
Vous êtes les occupants,accueillis comme des rois,
vous diffusez le sang , vous bafouez les lois.
Inventer des histoires pour endormir le monde,
mensonges et complaisance sur tout le sang qui tombe.
Un homme vaut mieux qu'un autre dans vos philosophies,
comme des maitres qui décident à qui volé la vie.
Sous les pieds les épines à tous les innocents ,
un beau chapeau melon aux faiseurs de tourments.
A tous ces beaux parleurs et ses joueurs de flute
les graines ne pousseront plus,resteront dans la bute.
A tourner dans le vent sur les mots inutiles
À promettre le changement sans battement de leur cils.
S'endormir bien tranquille sur des rêves d'argent ,
sur des rêves de gloire ou des applaudissements.
ça mets des croix sur eux,ça regarde le ciel
ça se prend pour un dieu , ça se prend pour la belle
Quelle tristesse ce chemin où l'on trouve plus sourire
il y avait des fleurs partout sucées par les vampires.
Une rose ,une violette, un papillon de nuit
tu n'as pas vu les signes ta préféré la suie.
Texte Catherine Arcelon 13 novembre 2023