Du plus loin que l'on se souviennent
32000 ans nous séparent de la première rencontre avec la peinture. Des premières couleurs comme l'ocre rouge et le colorant noir. Des tas d'explications (car l'homme en à besoin !) pour expliquer la signification des première peintures préhistoriques. Explications d'ailleurs aussi farfelu les unes que les autres, sans jamais réellement connaitre l'état d'esprit de celui qui à commencé le début d'un art international. Et voila la source d'une nouvelle expression qui se développa par de multiples genres, copiés recopiés améliorés mélangés imaginés... Il fallait donner un nom à chaque nouveautés, comprendre l'originalité, classer, ordonner les variétés. La musique accompagne l'histoire de la peinture, même plus loin encore que nous pouvons l'écrire, sans pour cela lui donner le nom de musique. Frottement de cailloux, claquement de main à main ou sur le sol et objets, les premières musiques connus exprimaient le plus profond de soi, mettre un sentiment à un son. Les corps ainsi exprimeront le mouvement du bruit entendu. La musique et la danse brut . Au 21 siècles nous épuisons les genres, nous poussons l'originalité, à perdre parfois la tête. Nous étudions ainsi les différentes personnalités de l'homme et de la conscience. Ils restent encore beaucoup de musiques à créer, mais rares quand elles arrivent, avons nous puisé les genres avons-nous dessiné tout ce qu'il fallait dessiner. Sommes-nous au début ! Tant qu'il y aura des questions, il y aura de l'art. Catherine Arcelon 2008
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Articles de catherinearcelon
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- Catherine Arcelon
- Artiste Peintre
Citation préférée :
Bien mal acquis ne profite jamais.
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Morceau de bois
- Par Catherine Arcelon
- Le 28/04/2022
Plaisirs d'amour qui ne plaît à personne
Il fredonnait le jour ne resté qu'une nuit
Écoute le silence, je ne suis plus que toi.
Et sauver par la chance cela n'existe pas
Quand il sera parti, tu seras toujours là.
Sur le chemin de la vie pour un morceau de bois
Mais si tu continues que tu marches tout droit
C'est ce morceau de bois qui vaudra mille fois.
Texte Catherine Arcelon 1995
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Le silence
- Par Catherine Arcelon
- Le 28/04/2022
Le silence
Le silence est presque entier,
L'odeur parfois mouillé toucha les profondeurs de mon âme ,
qu'il est possible d'exister dans ces lieux,
ou plus rien n'est grave,
Mes pensées sont telles,
Je ne tourne plus la tête,je la lève très haut,
Prenant possession et ne faire qu'un.
Et que mon coeur de pierre fond,qu'il soit touché par ce plaisir.
Image,imagine.
Réel,réalité.L'instant d'aprés
Volets fermés
Catherine Arcelon 2008
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Le ton
- Par Catherine Arcelon
- Le 28/04/2022
Les mots que j'écris se respirent,
Le ton de le dire, prendre la meilleur façon de lire,,,
Esprit critique que nous avons...
Nous sommes ici pour quelque chose,le sens et l'explication se trouve à l'intérieur .
Et que chaque jour soit signe et ligne d'une écriture fluide.Catherine Arcelon 2008
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L'inspiration Texte de 2008
- Par Catherine Arcelon
- Le 28/04/2022
L'inspiration...
Quand vient l'inspiration, cette envie très forte de toucher ma peinture, d'utiliser mes pinceaux, ou aujourd'hui mes mains ; de fixer l'intérieur de mon ventre, de pouvoir être libre de son contenu !
L'amour à laissé des traces puérils, de pastel, d'écritures simples, formes célestes aux idées trompeuses.
La colère à laisser des traces d'exacerbation, de non sens, de désarroi, de ce qui fait ma révolte, elle sera éternelle, mais chaque toile me soulage et m'inspire pour la suivante.
Un sujet, une personne, une histoire à raconter, comme une lettre qui pourrait toucher, mais rarement faire réagir, qu'il me reste du temps raviverai mes façons ...
Je vous écris chère évidente, je vous trouble chère patience, en gardant clandestin mes choix, mon espérance de prendre enfin le repos de mon âme.
Je vous aime d'être la, d'accompagner mes routes sans m'indiquer le chemin, de ne pas confondre mon apparence et placer des mots quand je vous regarde.
Chère créature, amis, amour, terre
Je vous dois ma folie, je vous écris mon temps,
Chère noire, blanche, rouge, mes couleurs sont les vôtres,
Je lis vos états, votre apparence, j'écris les désarrois, l'impuissance
Je vous dois mes courroux, mon énergie, ma méfiance,
Et je mets l'abscisse d'une signature, sans en être certaine.
Alors inspiration, relief de ma vie ; parcours mes idées, libère l'audacieux, reste courageuse de mon déplaisir, accompagne moi dans la finalité.
Catherine Arcelon 2008